Biographie
« Pour me comprendre, il suffit de connaître mon signe, ancré au plus profond de mon être.
Balance. Comme l'indécise.
Balance. Comme la justice.
Balance. Comme le yin et le yang.
Balance. Comme la dualité.
Balance. »
Résilience, un album en totale connivence avec la dualité de Yaël. Il est évident que la chanteuse ne pouvait se cantonner à un seul style musical. Elle oscille adroitement entre la chanson française, la pop et le rock. Yaël Mendel, c’est aussi une passion pour l’écriture des textes de la langue de Molière. Un opus intime, autobiographique, où l’expression « se mettre à nu » prend tout son sens. Un cadeau sincère de l’artiste que l’on ne peut recevoir qu’avec émotion.
Des mélodies qui s’impriment dans la mémoire, des textes qui interpellent, qui questionnent, qui émeuvent, qui bouleversent.
Yaël Mendel, c’est une alliance parfaite entre l’hypersensibilité, la fragilité d’un côté, et la puissance vocale, la guerrière, de l’autre. C’est une signature vocale singulière. Puissante et éraillée lorsqu’elle dénonce les injustices, fragile et légère comme un souffle quand elle chante l’amour d’un enfant. Les reflets les plus sombres de son âme laissent passer tant de lumière que sur scène, tout s’illumine. Son magnétisme, la couleur de sa voix et son sens de l’interprétation captivent le public. Elle transmet tout ce qu’elle est : fragile, en colère, forte, indignée, mélancolique, triste, heureuse. Yaël déballe en chanson ses émotions brutes, sans artifice, sans jamais trahir sa nature sensible et impétueuse.
Yaël Mendel, c’est avant tout une histoire de groupe, un duo. C’est une écriture à 4 mains avec Eric Francavilla, son binôme à la scène comme à la vie. C’est l'union d'une chanteuse pleine de fraicheur et d'un musicien de talent et d’expérience.
Quelques années plus tôt, Eric a été l’auteur-compositeur d’un album signé chez SONY BMG, suite auquel il a fait la première partie de toute la tournée de Patrick Bruel, avec qui il a même joué sur scène, puis il a enchaîné avec la première partie de Johnny Hallyday 10 jours à L’Olympia.
Eric et Yaël, c’est un tandem grenoblois qui marque les esprits. Leur duo cover (guitare voix acoustique) « Accords & Ames » voit le jour en 2012. Ils connaissent un succès fulgurant auprès du public et des programmateurs. Depuis 10 ans, ils ont enchainé plus de 600 concerts. Ces deux-là cultivent le don de soi, le public le ressent et leur rend bien.
"Yaël Mendel et Eric Francavilla, un tandem grenoblois qui marque les esprits."
Sur scène, on retrouve l’énergie du vrai.
Une formation dynamique de 7 musiciens de talent : basse, batterie, guitares, clavier, violon, violoncelle. Présence, émotion, puissance, groove, des mots et du son… Bref, de la musique vivante.
Crédits photos : Joseph Caprio, Cindy Rochas
Yaël et Eric, c’est l’union d’une chanteuse pleine de fraîcheur et d’un musicien d’expérience : quelques années plus tôt, Eric a été l’auteur-compositeur d’un album signé chez SONY BMG, suite auquel il a fait la première partie de toute la tournée de Patrick Bruel, avec qui il a même joué sur scène, puis il a enchaîné avec la première partie de Johnny Hallyday 10 jours à L’Olympia.
La magie habite ce duo depuis leur rencontre en 2012. En 10 ans d’existence, ils ont donné près de 600 concerts. Ces deux-là cultivent le don de soi. Le public le ressent et leur rend bien.
Yaël Mendel...
...chante depuis son plus jeune âge, et connait la scène depuis ses 15 ans. Ses origines juives, polonaises, italiennes, lui donnent une identité typée et originale.
Une enfance agitée, entre drames et insouciance, une famille recomposée. Des liens compliqués avec la famille paternelle. Et c’est en chantant que la petite fille trouve un réconfort, ayant fait de la musique son refuge. Elle sera chanteuse. Elle apprend le piano et le solfège à 10 ans et pratique aussi la danse très jeune.
Sa mère, avocate, militante, charismatique, joue du piano, écoute Barbara, Gainsbourg, Beethoven, Lynda Lemay. Son père, professeur agrégé de français et latin, joue de la guitare, chante Brel, Brassens, Leonard Cohen, Léo Férré, Cabrel, Christophe.
Du côté maternel, le piano est instrument de prédilection. Sa grand-mère, grand-tante, sa mère, sa tante, ses cousins, son petit frère. La transmission est innée. Idem pour la danse, classique ou contemporaine, pratiquée par toutes les femmes de la famille.
Et pourtant, dans cette même famille les études sont placées au centre de la vie. Yaël obtiendra une licence d’économie & gestion, puis un master en marketing en école de commerce. Cela n’a pas empêché sa passion pour la musique d’éclore et de grandir, toujours soutenue par sa maman.
Après ses études, elle décroche son premier contrat d’artiste dans un cabaret. Durant plus de 3 ans, elle apprend toutes les bases du métier. Elle intègre ensuite plusieurs groupes et troupes de spectacles.
Les concerts s’enchainent et certains la guident vers des destinations exotiques telles que l’Inde, la Barbade, Hong Kong, etc… autant de régions du globe qu’elle n’aurait peut-être jamais connues si elle n‘avait pas fait ce métier passionnant. C’est au sein de ces orchestres qu’elle rencontre Eric Francavilla, qui marque le grand virage de son parcours artistique et le début des compositions originales.
...Ses influences musicales sont très éclectiques. Ses inspirations sont diverses et nombreuses :
Izia, Muse, Evanescence, Vanessa Paradis, Pink, Adèle, Pink Floyd, Pink, Zazie, Sting, Lynda Lemay, Aretha Franklin, Tina Turner, Radiohead, etc…
Par ailleurs, ses origines juives lui ont donné un amour profond pour la culture et la musique d'Israël. Elle lui rend hommage sur scène lorsqu’elle chante quelques airs en hébreu et parle aussi de la Shoah dans une de ses chansons (cf. "Les barbelés" Résilience). Elle porte l’héritage d’une communauté écorchée, riche de son histoire, qu’on ne doit pas oublier.
... est né « une guitare à la main »...
Petit garçon, il dormait la tête sur l'ampli de son papa guitariste lors des concerts et il a été bercé par les chants de sa mère et les mélodies italiennes de sa grand-mère.
Son père lui apprend ses premiers accords et très vite, il progresse. Il est passionné, presque possédé.
Eric
Francavilla...
A l'âge de 11 ans, son père, qui a été son premier professeur de guitare, lui offre le plus inespéré des cadeaux : une Fender Stratocaster de 1976, qui reste son bien le plus précieux. La même que ses idoles, Jimi Hendrix, Ritchie Blackmore (Deep Purple), David Gilmour (Pink Floyd), Mark Knopfler etc...
A 14 ans, il commence à écrire ses propres chansons, paroles et musiques. Il ne s'est jamais arrêté de composer, d'écrire des textes, c'est tellement inné chez lui.
Au fil des années, acharné de travail, Eric s'est donné les moyens et a acquis un niveau qui inspire le respect et la reconnaissance du « métier ».
Depuis 1987, il a joué dans plusieurs groupes de reprises, en France et à l’international. En 2000 il sort un album chez Sony BMG avec le groupe « Nunzia ». Durant deux années il s'est produit dans de nombreux Zeniths, mais aussi à l'Olympia en première partie de Johnny Hallyday durant 10 jours. Il a vécu de magnifiques expériences et connu le privilège de jouer aux côtés de grands artistes (P.Bruel, C.Mae, Natasha St Pier, Jenifer…).
