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Accords & Ames

Résilience

E.P.
Résilience
Paroles

Indécise

Ça fait deux heures que j’suis plantée là

Au milieu des merveilles chez Prada

J’hésite entre le cuir noir et le rouge faut qu’ je bouge

 

Avant de m’attirer des problèmes 

Ma carte est limitée H&M

Mais c’est trop tard j’ai déjà tapé le code, putain d’soldes

 

Je suis indécise Je joue l’insoumise

A des idées qui se bousculent dans ma tête

Je suis indécise Je joue l’insoumise

 

Sortie resto encore une galère

Il faut trancher, fromage ou dessert

Tous mes copains véners qui m’attendent c’est relou mais j’m’en fous

 

Demain matin rencard chez l’coiffeur

Pour faire des mèches ou pt’être une couleur

Et je prendrai tout mon temps…    (Parce-que je le vaux bien)

 

Refrain

 

Pont slamé (version live uniquement)

Quand dans la vie tu ne sais pas 

Si celui-ci ou celui-là

Sera le bon choix pour toi

Quand dans la vie tu ne peux pas 

T’empêcher de picorer 

Dans le plat de ton voisin 

Parce que finalement c’est tellement meilleur que le tien

Tu coupes tes cheveux et puis après 

Ils sont trop courts pas assez lisses bien trop raides et sans volume 

Tu crois qu’tu joues ta vie

À chaque fois que tu choisis

C’est une bien belle galère

Pour les autres, le kiff c’est d’avoir l’embarras du choix mais 

Pour toi Le choix  c’est...  l’embarras

Vivre c’est choisir

Et choisir c'est renoncer 

Renoncer c'est être frustré 

Être frustré c’est pas pour moi

Les princesses ou les gamines qui ne veulent pas grandir   

Moi je veux tout avoir je ne veux pas choisir je ne veux pas grandir 

je ne veux pas murir je ne veux pas vieillir je ne veux pas mourir 

 

Refrain

 

Indécise … insoumise

A des idées qui se bousculent dans ma tête  

Je suis indécise

Indésise

Y'a des jours

Y’a des jours où tout va mal

Y’a des jours où la terre tourne à l’envers

Y’a des jours où ça fait mal

Y’a des jours où l’amour mène en enfer

Cette histoire, qui se meurt était la notre

Il faut croire, qu’il est vrai que ça n’arrive 

Pas qu’aux autres

 

Refrain

Alors je chante plus fort que la douleur

Alors je chante, pour recouvrir les cris

Alors je chante sur des accords majeurs

Et j’attends qu’un autre ange passe

Fredonner ma mélodie…

 

Y’a des jours ou je me perds

Y’a des jours ou je suis face au grand vide

Y’a des jours au gout amer

Ou j’aimerais que tu reviennes et me guide

Cette histoire, qui se meurt était si belle

Faut pas croire, qu’un amour aussi beau soit 

Eternel

 

Refrain 

 

Mais t’auras toujours une place

Dans les souvenirs de ma vie

Pour les plus beaux que rien n’efface,

Je te dis… merci

y'a des jours

Dis mamie

Je t’écris comme un enfant ferait sa lettre au père-noël

Avec l’espoir en m’endormant que tu me lises à travers ciel

 

Dis mamie dis-moi comment on fait pour rendre éternel

Son amour pour qu’il résiste au mauvais temps

Pour le meilleur et pour le pire

 

Refrain

Dis mamie dis-moi comment 

Toi qui vis dans tout mon être

Comment faire quand on est grand

Pour rendre sûrs tous les peut-être

Dis mamie dis-moi comment

Savoir ouvrir les fenêtres

Et prendre l’air de temps en temps

Y respirer ton parfum que j’aimais tant

 

Dis mamie dis-moi pourquoi  

Je suis perdue et j’ai si mal

Toi qui n’as jamais baissé les bras  

Quand tes jambes se sont fait la malle

Tu chantais contre l’oubli de nos ancêtres emportés

Vers les camps de l’infamie et je continue de chanter

Tes mélodies

 

Refrain

 

Et toutes ces odeurs de croissants et de chocolat

Les câlins tout en douceur de tes mains douces posées sur moi

Tu es toujours là

 

Dis mamie dis-moi comment tu as su que c’était lui

Jusqu'à changer de religion

Pour que cet homme soit mon papi

Dis mamie comment t'as fait

Promets-moi que c’est volontaire

D’avoir choisi pour t’en aller

Le jour de mon anniversaire

Pour que tu vives à travers moi

J’espère

Dis mamie

Les barbelés
à Pierre, mon grand père

J’avance, dans la plaine

Et je pense, non, pas de haine

Je suis la voie ferrée

J’me dis, que moi j’m’en sortirai

Et j’entre dans le camp où les miens sont tombés

Puis j’esquisse un sourire pour ne pas m’effondrer, m’écrouler

 

Refrain :

Quand les barbelés tremblent, les barbelés pleurent

Les barbelés chantent les chansons de l’horreur

Les barbelés vibrent comme des cordes de guitares

Des cordes écorchées par l’horreur de l’histoire

Les barbelés vivent entre deux piques en bois

Les barbelés saignent et ne guérissent pas

D’avoir entendu les cris des enfants 

D’avoir retenu les prisonniers du néant

 

Les murs, des bâtiments

Sont rouges, rouge comme le sang

Qui souille, la morte plaine

Le même, qui coule dans mes veines 

Les longues cheminées semblent fumer encore

Je ne vois plus le ciel, est-ce que dieu est mort ?

 

Refrain

 

Et moi, comme tant d’autres, je porte le souvenir…

Quand les barbelés tremblent quand les barbelés pleurent 

les barbelés tremblent   …     les barbelés pleurent …

Quand les barbelés pleurent 

 

Refrain

 

Et moi, comme tant d’autres     …   

Je n’oublie rien 

Ls babelés

Au coeur de mes nuits

Quand vient la nuit

Tous mes démons s'éveillent

Au cœur de mes nuits

Je combats le sommeil

Alors je m'invente un royaume

De songes et de silences

Je parle à des fantômes

Issus de mon enfance

 

Refrain

Ne m'en veux pas

Pour tous ces mots que je n'dis pas

Mais je t'aime

Regarde-moi

Dans mes yeux tu comprendras

Si tu m'aimes, tu entendras

 

Que dans mes nuits

Y'a des cris de violence

Au cœur de mes nuits

Je te jure mon innocence

Alors je m'invente une histoire

Où je suis une princesse

Je m'y perds sans m'apercevoir

Que toi je te délaisse

 

Ne m'en veux pas

Pour tous ces mots que je n'dis pas

Mais je t'aime

Regarde-moi

Dans mes yeux tu comprendras

Si tu m'aimes, tu seras là

 

Au cœur de mes nuits, sombre ma vie

Au cœur de mes nuits, douce insomnie

 

Ne m'en veux pas

Pour tous ces mots que je n'dis pas

Mais je t'aime

Regarde-moi

Dans mes yeux tu comprendras

Si tu m'aimes,

Ne m'en veux pas

Pour ces caresses que je n’donne pas

Mais je t'aime

Montre-les-moi

Avec le temps tu m'apprendras

A dire je t'aime

 

Au cœur de mes nuits, sombre ma vie

Au cœur de mes nuits, douce insomnie

Au cœur de mes nuits, sombre ma vie

Au cœur de mes nuits, douce insomnie

Au cœur de mes nuits

Au ceur de mes nuits

J'ai regardé en arrière

Dans le noir quand les images se bousculent

Je te vois toujours

Ça peut paraître ridicule

De repousser l’amour

Puisqu’on n’a pas le choix, quand la vie décide 

Sans te donner le droit de compter mes rides

 

J’ai regardé en arrière

Pour ne pas voir demain

J’y ai vu nous hier

Disparaître au lointains

J’ai regardé en arrière

Puisque devant il n’y a rien

Rien qu’un peu de poussière

Sur une photo d’hier 

Et tellement de chagrin

De chagrin

 

Dans ma tête quand mes souvenirs se bousculent

Et te rendent hommage

Tous ces bouts de toi enfermés dans ma bulle

Assurent les dommages

 

Puisqu’on est différent

De l’avis des autres

Puisqu’on est dépendant

De la vie des autres

 

J’ai regardé en arrière

Pour ne pas voir demain

J’y ai vu nous hier

Disparaître au lointain

J’ai regardé en arrière

Puisque devant il n’y a rien

Rien qu’un peu de poussière

Sur une photo d’hier 

Et tellement de chagrin

De chagrin

 

Bonne chance mon amour

Toi qui resteras pour toujours

Toi qui restes encore mon amour

J'ai regardé en arrière

X-Fra

Qu’il est long le chemin qui me mène

Me mène jusqu’à toi

Je ne sais pas si au bout de mes peines

Tu seras là

Mais je vais avancer, je vais tout essayer

Pour donner un sens à donner la vie

 

Et ce n’est pas ma faute

S’il y a quelque chose en moi de fragile

Je ne suis pas comme les autres

Mais un jour ma terre deviendra fertile

 

Il y a bien longtemps que je te cherche

Sans trop savoir

Jusqu’où me mènera la recherche

Jusqu’à l’espoir

Mon amour m’accompagne, pour soulever les montagnes

Et atteindre le sommet de la vie

 

Et ce n’est pas ma faute

S’il y a quelque chose en moi de fragile

Je ne suis pas comme les autres

Mais un jour ma terre deviendra fertile

 

Malgré ma différence j’ai la chance de savoir

Comment écrire l’histoire

Et te donner naissance sans avoir

Un enfant né sous X-Fragile

Fragile

X-Fra

Tout va bien

Il y a parmi les hommes

Ceux qui pensent être bien-pensants

Qui condamnent et qui emprisonnent

Les esprits différents

A genoux ! Pauvre fou 

Lui qui a gardé son cœur d’enfant 

Innocence, Tolérance,

Ne sont pas des mots pour les grands

 

Et pourtant dans ses yeux j’ai vu s’ouvrir les cieux

Et pris ses différences pour une chance 

D’être libre sans demander asile

Dans un monde de fous, mais qui sont les fous ?

Mais tant qu’on est conforme à la norme, tout va bien                     

 

Quand il chante à tue-tête 

En dansant sur nos avenues

On dit qu’il a perdu la tête 

Lui le seul à n’pas l’avoir perdue

Même les murs les plus sûrs 

Ne pourront empêcher ses voyages

Être ailleurs, être à part,  

Être heureux d’aller sans bagage

 

Et pourtant dans ses yeux j’ai vu s’ouvrir les cieux

Et pris ses différences pour une chance 

D’être libre sans demander asile

Dans un monde de fous, mais qui sont les fous ?

Mais tant qu’on est conforme à la norme, 

Tant qu’on avance bêtement dans le rang

Que le décor reste uniforme, tout va bien. Tout va bien.

 

J’aurais voulu apprendre

Mais il est parti en dansant

Il y avait surement tant à prendre

D’un homme simple et si bien-pensant

    

Près d’une gare, d’un boulevard,

Vous l’entendrez chanter à tue-tête

Écoutez !  Souriez !  

Sans vous cacher derrière vos lunettes

 

Et pourtant dans ses yeux j’ai vu s’ouvrir les cieux

Et pris ses différences pour une chance 

D’être libre sans demander asile

Dans un monde de fous, mais qui sont les fous ?

Mais tant qu’on est conforme à la norme,   

 

Tout va bien, tout va bien, tout va bien, ad lib…

lalalalalala…lalalalala… lalalalalala…lalalalala…

Tout va bien

Des chandelles dans le vent
à la mémoire de Fabienne

J'ai souffert en silence, j'ai compté les jours
Accepté tes absences par amour...
J'ai cru à tes mensonges, j'ai appris à me taire
J'ai vécu quand j'y songe en enfer
Même si j'ai mal, même si j'ai tout à refaire
Je n'regarderai plus jamais en arrière... Non...

J'oublierai tous tes je t'aime
J'oublierai tous tes serments
pour déployer mes ailes dans le temps...
Je ferai de nouveaux rêves
J'aimerai d'autres amants
Je brûlerai mes peines, mes tourments
Comme on brûle des chandelles dans le vent

Je suis fatiguée d'attendre que vienne mon heure
J'ai un train à prendre pour un autre ailleurs
Je ne veux plus partager, c'est plus de mon âge
Je t'abandonne à ces filles de passages
Et si j'ai droit à une autre chance
Tout autour de moi, je veux que l'on danse...

 

             Refrain
 

Pourtant ma peau se souvient
Qu'elle frissonnait sous tes mains

Dans mes rêves d'enfants 
Pourtant ma bouche a envie
De dire je t'aime dans un cri

Refrain  Ad lib


 

Des chandelles dans le vent

Chanson pour toi

J’ai cherché bien longtemps deux ou trois accords 

Que mes doigts peu habiles pourraient enchaîner

J’ai cherché bien longtemps ce que j’pourrais raconter 

Devant tous ces gens sur notre intimité

Je n’aurais jamais cru que je pourrais trouver

Un ami, un amant, un père et un mari

Pour accorder nos âmes il a fallu de temps

Mais à présent je peux dire

Tu me rends femme

 

Tu m’apprends la musique   

Tu m’apprends mon corps

Tu m’apprends le nous          

Tu m’apprends l’amour

Tu m’apprends la vie         

Tu m’apprends

 

J’ai cherché bien longtemps qui pourrait supporter 

Mon ego bien trop grand et mes fêlures tatouées

J’ai aimé bien longtemps sans connaître le sens  

Du partage, de l’amour, et de la confiance

Toi t’es déterminé, entêté mais entier

Tes coups d’gueule populaires en toi pour toujours

Mais derrière ta main de fer, dans ton cœur de velours

Je suis fière de chanter

Tu es mon homme

 

Tu m’apprends la musique   

Tu m’apprends mon corps

Tu m’apprends le nous          

Tu m’apprends l’amour

Tu m’apprends la vie      

Bis   

 

Tu m’apprends

Tu m’apprends

Chanson pour toi

Dis-moi pourquoi

Le temps s'arrête, immobile sous la pluie

Une cigarette, pour consumer l'ennui

De ma vie, qui se fige au pied du mur de l'avenir

Qu'y a-t-il au-delà de ces pierres ?

Un tendre exil ou d’aveuglantes lumières ?

J'ai tellement peur d'aller voir si c'est meilleur ou pire

 

Refrain

Dis-moi pourquoi tu as changé l'histoire

Dis-moi pourquoi j'aimerais le savoir

Dis-moi comment c'était de l'autre côté

Dis-moi pourquoi et je saurai comment pardonner

 

Quand la raison prend le pas sur l'amour

La trahison efface les toujours

Les blessures se ferment 

Mais il reste à fleur de peau des cicatrices

 

Quand la maison, qui sentait bon le bonheur

Devient prison, pour un cœur qui se meurt

Devant les images   de vos corps qui s'enlacent et salissent 

 

Refrain

 

Dis-moi pourquoi, dis-moi pourquoi

Dis-moi comment c'était de l'autre côté

Dis-moi pourquoi et je saurai comment pardonner

Pardonner… pardonner…

Dis moi pourquoi

Ce que tu aimes me faire

Mon corps s’abandonne

A tes mains expertes il résonne

Tu me dessines au corps à corps 

Une toile à la peinture d’or

 

Et quand ma délicieuse écorce

Tait mes invisibles écorchés

Ephémère et intense amorce

Illusion de désirs fêlés

 

Refrain

Jour et nuit la passion dévoile une Diane acharnée à mordre

La lumière de Lucifer

Les désirs de madame ne sont que désordre 

Puisque j’aime que tu me fasses ce que tu aimes me faire

 

Quand mon capricieux désir

Tel un enfant trop exigeant

Ordonne à maman d’obéir 

Je cède à mon divin enfant 

 

Comme un venin dans mes entrailles

Le désir à son paroxysme

Je délire, mon corps déraille

Dans les plaisirs de l’égoïsme

 

Refrain

J’aime que tu me fasses, J’aime que tu me fasses,

J’aime que tu me fasses ce que tu aimes me faire

Ce que tu aimes me faire Ce que tu aimes me faire

 

Chorus

 

Refrain

J’aime que tu me fasses, J’aime que tu me fasses,

J’aime que tu me fasses ce que tu aimes me faire

Ce que tu aimes me faire Ce que tu aimes me faire

Ce que tu aimes

Les méchants

Il y a déjà bien longtemps mon âme a perdu le sourire

A l’âge où tous les enfants ont le temps de grandir

Moi ce temps m’a été volé, entre le V et le O

Y' a un  I  censuré, faut pas dire de gros mots

 

Et si mon lobe temporal a choisi de foutre en l’air

Les souvenirs qui font mal, souffrance intemporelle

C’est pour me protéger, sélective amnésie

Des douleurs du passé, à l’abri dans l’oubli

 

Refrain

Mais c’est quoi cette histoire qu’on fait croire aux enfants ?

Est-ce que ceux qui nous aiment s’raient les méchants ?

  

Le temps passe et j’avance, me voilà presque femme

Face aux hommes, leurs avances, je n’avais pas les armes

J’ai offert trop de moi, donné trop de mon corps

A ceux qui ne restent pas le soir quand je m’endors

 

J’ai connu des amants, des histoires sans passion

Mais les filles comme moi ne peuvent pas dire non

Trop coupable, sans estime et réduite au silence

J’ me sens sale, j’ me sens seule,  je m’sens laide, je m’sens pas

Mais c’est quoi cette histoire qu’on fait croire aux enfants ?

Est-ce que ceux qui nous aiment s’raient les méchants ?

 

Puis y’a ceux, qui m’ont aimée, de tout leur cœur et leurs larmes

Mais sur eux, je me suis vengée, de ceux qui m’ont fait du mal

Difficile d’assumer, de s' regarder en face

J’ai beau tout nettoyer, il reste encore des traces

 

Ma déchirure est là, béante, j’mets d’la de colle sur la plaie

Mais ça s’referme jamais, ça n’arrête pas d’saigner

Ma déchirure est là, géante, J’mets d’la de colle sur la plaie

Mais ça pisse le sang, oui ça pisse le sang

Et je saigne oui je saigne, ça pisse le sang oui Je saigne

 

Il y a déjà bien longtemps, mon âme a perdu le sourire

A l’âge où tous les enfants ont le temps de grandir

Dans mes rêves angoissants, dont j’vois jamais la fin 

Je cherche encore cet enfant, arraché par les miens.

Les méchants

Quand les masques seront tombés

Il est 20 heures, je vais sortir

Sur mon balcon comme tous les soirs pour applaudir

Autour de moi, à bonne distance,

On applaudit comme on le fait partout en France

Tous ces soldats du temps 

Dans leur uniforme blanc

 

Refrain

Il faut apprendre de nos erreurs

Il faut apprendre de ces horreurs

Sentir le manque de nos étreintes

Avant que la flamme soit éteinte

Se voir à travers un écran

Ça ne sera jamais suffisant

C’est notre sang, notre ADN

Il y a des mains qu’il faut qu’on tienne

Et quand les masques seront tombés

Se dire ton sourire m'a manqué

 

Qui aurait pu nous prévenir

Que l'on pouvait trouver la mort parce qu'on respire

Comment se battre, chacun chez soi

Comment combattre un ennemi qu'on ne voit pas

Drôle de guerre déclarée

Où l'on doit déserter

 

Refrain

 

Ohoh Ohohohohoh 

Et quand les masques seront tombés

Ohoh Ohohohohoh 

Se dire ton sourire m'a manqué

Quand les masques
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